Great Mountain Fire
Great Mountain Fire est un groupe pop issu de la culture rock des années 1990, mais imbibé de beats groovy teintés de soul/afro-funk, bien chauds et fluides, produisant des chansons à la fois mélodieuses, éthérées et dansantes.
Réseau
Profils liés
- Basse (interprète)
- Alexis Den Doncker
- Batterie (interprète)
- Morgan Vigilante
- Clavier (interprète)
-
Antoine Bonan
Tommy Onraedt
Thomas de Hemptinne
- Groupes & Projet solo (chanteur·euses)
- Thomas de Hemptinne
- Guitare (interprète)
-
Antoine Bonan
Thomas de Hemptinne
- Percussions (interprète)
- Morgan Vigilante
Entourage professionnel
- Agences de promotion & Attaché·es de presse
- Five Oh
- Maisons de disques & Labels
- Capitane Records
- Agences de management & Manager·euses
- Odessa Music
- Agences de placement/booking & Booker·euses
- Live Nation Belgium
Contacts
- Booking : Emilie Dehez (Live Nation Belgium)
Description
Basé à Bruxelles, le groupe est composé de cinq amis d'enfance qui n’ont jamais arrêté de jouer ensemble depuis leur pré-puberté : Thomas de Hemptinne (voix, claviers, guitare), Antoine Bonan (guitare, claviers, voix), Alexis Den Doncker (basse, voix), Tommy Onraedt (synthétiseurs) et Morgan Vigilante (batterie, percussions).
Great Mountain Fire agite le cocotier de la pop moderne depuis une dizaine d’années. Au-delà de cette décennie partagée avec le public, voilà près d’un quart de siècle que les garçons cultivent la magie de l’instant. Complices sur scène, amis pour la vie, les musiciens transposent cette camaraderie dans leurs chansons.
Il y a cinq ans, Great Mountain Fire squattait un espace hors du temps. Replié sous les boules de l’Atomium, le collectif bruxellois occupait alors les vestiges de l’Expo 58. Après y avoir enregistré l’album ‘Sundogs’, la formation s’est retirée dans une grande maison en bois, en périphérie de la capitale européenne. C’est là, loin du fracas de la grande ville, que les cinq musiciens ont planté les fondations de ‘Movements’, un troisième essai à la genèse nomade. D’une villa perdue dans les dunes à un salon métamorphosé en studio d’enregistrement, le disque a vu du pays. Certains morceaux sont même nés dans l’intimité de lieux confinés, des petits espaces qui, d’une façon ou l’autre, ont redéfini l’aire de jeux des musiciens.
Par le passé, Great Mountain Fire devait gérer l’effervescence collective. Aujourd’hui, l’équipe est mieux rodée. Chacun connaît sa place, tout le monde occupe le terrain. Réaliste dans sa conception, convivial jusque dans ses ultimes finitions, l’album doit beaucoup aux interventions de l’ingé-son Julien Rauïs, sixième membre d’une équipée soudée comme jamais. Great Mountain Fire agite le cocotier de la pop moderne depuis une dizaine d’années. Au-delà de cette décennie partagée avec le public, voilà près d’un quart de siècle que les garçons cultivent la magie de l’instant. Complices sur scène, amis pour la vie, les musiciens transposent cette camaraderie dans les chansons du récent ‘Movements’.
A l’image de son titre, ce troisième album est une progression multidirectionnelle. Marche en avant artistique, projection spirituelle dans un monde en proie aux doutes et à la montée des extrêmes, ce disque affirme sa nature progressiste. Entre évolution nécessaire, mélancolie et obligation d’avancer, Great Montain Fire esquisse les contours d’un futur excitant. Forcément différent.