L’intégrale de la musique

Guillaume de Lophem

Guillaume de Lophem a été biberonné au son de Jacques Brel et Léonard Cohen, prémices de son goût prononcé pour les beaux mots et les belles mélodies.

Description

Il commence à écrire sa première chanson en français dans un bus de classe de neige pour une fille à 14-15 ans, ça ne s’invente pas. Il rencontre, lors de cette expérience, les futurs membre du groupe The Lights, pour lequel il est auteur-interprète. Fortement influencé par les Doors, les Guns N’Roses, les Red Hots, etc, ils jouent quelques concerts et créent un album amateur.

Il se frotte ensuite à la musique électro et drum and bass et crée 5 titres sous le nom de [GMS]. Dans ce cadre, il anime pendant deux ans une émission radio du nom de 190BPM sur Radio Campus à Bruxelles.

Puis, il part en Erasmus pendant 6 mois à Dublin où il joue et chante dans les rues, s’imprégnant du jazz manouche et des grands chanteurs de jazz tels que Frank Sinatra, Ella Fitzgerald, Nina Simone, etc.

Rentré chez lui, en Belgique, il est convaincu de vouloir faire de la chanson française. Il comprend qu’il aime profondément sa langue et qu’il a envie d’aller toujours plus loin dans le jeu et le sens donné par les mots. Ce que l’anglais ne lui permet pas.

Commence alors un parcours plus professionnel sous le nom de Yohm. Il enchaine de nombreux concerts, festivals et sort un EP en 2014 dont le single l’Or se trouve au fond des mots passera en radio.

On peut résumer sa recherche artistique comme suit :

Au début, il fait de la chanson française sans réfléchir, de manière impulsive, puis il écrit, joue et chante à la manière des maîtres qu’il admire (Brel, Gainsbourg, etc.) Ayant digéré le passé, il crée ensuite des chansons plus personnelles mais cherche encore à plaire et il ne décide pas encore des arrangements. Sa musique ne lui ressemble donc pas encore vraiment et il a des réticences à la faire écouter et à en faire la promotion.

Arrive ensuite le déclic.

Il veut faire de la musique qui lui plaît personnellement, qu’il achèterait et qu’il mettrait dans sa playlist.

Il arrive enfin à une certaine maturité artistique et fait de la chanson française actuelle influencée, entre autres, par David Bowie, Léonard Cohen, William Sheller et Ennio Morricone.

Mais à ce moment-là, en 2014, son épouse et lui n’ont plus de quoi vivre. Il travaille alors dans plusieurs entreprises pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille naissante mettant son projet de chanson en demi-sommeil.

Durant cette léthargie, l’album 12 titres dont la sortie est prévue en novembre 2023, commence à se créer de manière très lente en 2016 avec son complice et très talentueux arrangeur et multi-instrumentiste Cédric Raymond.

Juste après la Covid, il a l’opportunité de se consacrer à nouveau complètement à la musique et tout s’accélère.

Comme certains artistes qu’il admire aujourd’hui (Louis-Jean Cormier, Salomé Leclerc, Ben Mazué, Bertrand Belin, etc., et ceux cités plus haut) en chanson française, il a envie d’un nom et un prénom.

C’est décidé, il prend les siens, Guillaume de Lophem, que l’on prononce pem et non fem.

Tout est en place maintenant, il a la clé qui ouvre toutes les possibilités.

Galerie
idlm, l’intégrale de la musique s’est donnée pour mission de recenser tou·tes les professionnel·les de la musique en Fédération Wallonie-Bruxelles.
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