Josselin Beaumont

Enfance et adolescence entre la capitale, la province et la rase campagne. Rat des villes et rat des champs, c’est adolescent en buvant l’une de ses premières bières et fumant l’une de ses premières cigarettes avec sa sœur ainée, qu’une vocation nait. A la maison, on écoute les Beatles, Stones et consort, mais aussi Gipsy King, Santana et Zucchero. Quand c’est du français, ça penche du côté électrique quand même, Goldman, Balavoine, Téléphone. Rapidement, il commence la guitare et l'harmonica.

Quelques temps plus tard il se lance dans une année de formation à l’école de musique actuelle Atla, à Paris, à deux pas de Pigalle, quartier des artistes s’il en est. C’est là qu’il affine sont songwriting et sa musicalité, développe plus précisément les influences qui l’inspire à prendre et reprendre la guitare. Il en profite aussi pour approfondir la connaissance et la maitrise d’autres instruments.

Plus de 10 ans plus tard, Il visite Bruxelles. Le coup de cœur est immédiat il s'y installe.

C’est là qu’il fait la rencontre de Mat Mirol, musicien et producteur, par le biais de contacts professionnels. Quelques sessions d’enregistrement improvisés plus tard. Les deux artistes décident de collaborer. Josselin à des chansons pop bien ciselées, taillées pour la radio, Mat l'expérience et l'oreille pour sublimer de ses arrangements, les mélodies de Josselin, le tout en gardant le côté rétro mais avec un son moderne.

Aujourd’hui, Josselin Beaumont c’est une gueule à mi-chemin entre Depardieu et Delon jeunes. Une voix qui emprunte à Jacques Dutronc, au Johnny des début ou au Liam Gallagher période Définitely Maybe. Puis des composition Rock’N Roll et et Folk-Rock, toujours en Français.