Théo Zipper

Fils d'un père architecte et d'une mère artiste peintre, il émit très rapidement une fascination pour la forme et le mouvement. Il grandit dans le sud de la France où il commença son parcours musical. D'abord attiré par le Rock ou la Funk, il découvrit le Jazz et quitta très vite, à l'âge de 16 ans, ses études pour en entreprendre de nouvelles au sein de l'Institut Musical de Formation Professionnelle de Salon-de-Provence.

Déjà dans une recherche d'expression, il y rencontra de brillants professeurs (Francesco Castellani, Lilian Bencini, Gérard Maurin...), qui lui suggérèrent différentes voies à explorer et l'importance de s'immerger complètement dans la pratique de l'art. Quelques années plus tard, fort d'un solide enseignement et de différentes expériences auprès de musiciens de renommés (master class avec Richard Bona, Gilles Coquard, concerts avec Louis Winsberg et Vincent Laffont (ONJ), jam-sessions avec Didier Lockwood et Mike Stern), il sortit diplômé et quitta le sud de la France, pour une capitale dynamique : Bruxelles. Il fréquenta quelques semaines les cours de Benoît Vanderstraeten au Conservatoire royal, avant de former son propre quartet autour de ses compositions.

En plus de concerts en Belgique et en France, un album autoproduit en fut témoin : Faith. Début 2017, après deux ans consacrés à la promotion de son premier album dans de nombreuses salles en Belgique et en France, le groupe retourna en studio pour travailler sur un nouveau disque : Gorilla. Pour sa sortie, le "nouveau" quintet mit en première ligne le joueur soul trompeur-bugle Aristide d'Agostino et l'électrisant Abel Jednak au saxophone alto.