Rêve d'Eléphant Orchestra
Cet orchestre atypique de sept musiciens offre depuis plus de vingt ans une musique joyeuse, insolite, généreuse, sensuelle, poétique et agréablement déjantée.
Réseau
Profils liés
- Basse (interprète)
- Louis Freres
- Batterie (interprète)
-
Michel Debrulle
Stephan Pougin
- Flûte traversière (interprète)
- Pierre Bernard
- Guitare (interprète)
- Nicolas Dechêne
- Trombone (interprète)
- Michel Massot
- Trompette (interprète)
- Christian Altehülshorst
- Tuba (interprète)
- Michel Massot
Entourage professionnel
- Agences de placement/booking & Booker·euses
- Collectif du Lion
Contacts
Description
Avant de devenir Orchestra, Rêve d’éléphant était un spectacle de danse. De ces origines, il garde dans ses gênes l’amour du rythme et du mouvement.
Depuis sa création en l’an 2000, le groupe a publié cinq albums et a donné le jour à deux déclinaisons : l'une théâtrale et littéraire, Odyssée 14, et l'autre percussive et électronique, Répercussion.
La sonorité particulière du Rêve d'éléphant Orchestra rend le groupe identifiable dès ses premières notes.
Didier Levallet - compositeur et contrebassiste français ainsi que directeur du festival Jazz en Clunisois - en parle mieux que nous: " (...) c’est un orchestre qui vient de Belgique… Un titre que je trouve assez adapté parce que c’est un titre un peu surréaliste et on sait que la Belgique est un pays qui pas seulement pour des raisons de politique intérieure mais aussi pour des raisons artistiques a de nombreux liens avec le surréalisme. Et cet orchestre relativement important de sept musiciens produit une musique qui est à la fois d’une grande exubérance, d’une grande générosité, d’une grande liberté, d’une grande rigueur dans l’écriture aussi, très imagée, très joyeuse c’est vraiment un orchestre qui donne du plaisir. C’est une musique qui surprend dans le bon sens du terme, très ouverte à beaucoup de choses, beaucoup d’influences, qui passe du coq à l’âne d’une façon tout à fait naturelle ; je ne trouve pas cela artificiel du tout.
Aujourd’hui, les musiciens ont la possibilité de piocher un peu partout, et parfois, il s’agit simplement de montages sans intérêt. Ce n’est pas de la world music ça reste du jazz car c’est la façon de faire la musique qui compte quelles que soient les sources ; d’ailleurs, je ne pense pas qu’il y ait d’emprunts littéralement parlant à des musiques extérieures, à des musiques du monde, mais c’est un état d’esprit d’ouverture."
