EMPEREUR
Là où les hommages post-punk aseptisés pullulent, le quatuor bruxellois accouche d’odes au vacarme et au chagrin à s’en briser le cœur. Si le post-punk viscéral reste la colonne vertébrale du groupe, celui-ci vient se mâtiner de relents psychédéliques, d’une guitare shoegaze, d’accents orientaux et d’une nouvelle voix digne d’un Morrissey sous PCP.