Moladji
Dans la veine des chanteurs à textes déchirés, David Ricci écrit sur tout ce qui le saigne ou le taraude. Avec ces acolytes de Moladji, il crée un univers ou l'onirisme flirte avec le réalisme froid du constat : non l'amour n'est pas toujours aisé mais oui, il y a des chemins de traverse pour arpenter et essayer d'atteindre l'idéal ou au moins son ombre… En quelques chansons balancées au piano parfois ou en groupe serré, l'émotion est toujours présente et on ressent les mots comme des SOS ou comme des chants de lutte…
Réseau
Profils liés
- Batterie (interprète)
- Olivier Cox
- Clavier (interprète)
- David Mathy
- Groupes & Projet solo (chanteur·euses)
- David Ricci
- Guitare (interprète)
-
David Mathy
François Petit
- Percussions (interprète)
- Olivier Cox
- Piano (interprète)
- David Mathy
- Violon (interprète)
- David Mathy
Contacts
- +32 (0)486 46 47 35
- davidriccister@gmail.com
- moladji@gmail.com
Description
Dans Moladji, le premier écrit sur tout ce qui le saigne ou le taraude. Il crée un univers où l’imaginaire flirte avec le réalisme froid d’un double constat. Non, l’amour n’est pas toujours aisé. Et oui, il y a des chemins de traverse pour arpenter et essayer d’atteindre l’idéal. Ou au moins d’effleurer ses reflets. Explorant les méandres des relations humaines et de l’amour, Moladji offre un tour d’horizon poétique des humanités sensibles. Chez lui, l’émotion n’est pas un vain mot. Les textes sont forts, intelligents et n’épargnent personne : Cri d’amour, champagne pour les polis, charogne pour les autres ; relève-toi pour les polis et relève-toi pour les autres en passant par la perversion d’un langage par un autre, en l’occurrence du français classique et scolaire par son wallon maternel, sauvage et sexuel. Moladji chansonne belge et prend la langue pour de la viande. Avec les mots, il tranche, invente, saucissonne, désarticule, débite, entame, pare, saigne, tranche et tue.
Dans Moladji, le deuxième est musical. On dit beaucoup de choses de la musique, de celle-ci, elle est avec, à travers le texte et la voix, charnue, couverte, entrelardée, enrobée, nerveuse, tendrineuse ... sulfureuse. Rencontre d’individus descendus des monts de la pop, de la ville, du rock, de la campagne, du ska, du flonflon ... c’est de la chanson.
Les deux font la paire et même un sacré tandem psychopathe qui fait valser les mots comme un possédé les ferait ... prier.
